
PASCAL MIALLIER
Peintures – Sculptures – Dessins

Pascal Miallier
Né en 1957
Etudes supérieures à l'Ecole des Beaux-Arts de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) de 1976 à 1981
Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique (DNSEP) en 1981
Quelques années d'enseignement avant l'installation comme artiste plasticien professionnel en 1986.
Spécialisation en sculpture animalière parallèlement à une pratique plus intimiste de dessins, collages, reliquaires… Nombreuses expositions collectives et/ou personnelles d'art animalier
avant de me consacrer professionnellement exclusivement à la réalisation d'œuvres en volume (sculptures, reliquaires, installations, décors, bas-reliefs...) pour des musées, des réserves naturelles, des parcs nationaux ou régionaux, le Conservatoire du littoral, des collectivités... dans le cadre
de muséographies aux sujets très variés allant de l'art religieux à la préservation de la nature en passant par l'ethnologie. Une trentaine de réalisations en France (liste ici), en expositions permanentes, sur une période d'environ 25 ans jusqu'à aujourd'hui, ayant nécessité de un mois
à plus d'une année de travail et comportant de une ou deux sculptures, etc., à une centaine,
et de tailles très variées.
Parallèlement à cette activité, je poursuis également une œuvre plus personnelle sur l'histoire de douze femmes photographiées ensemble dans les années 1910/1920. Ce travail réunit un grand nombre de domaines plastiques, à savoir des reliquaires, des portraits, des sculptures, des masques, des « objets magiques », des maquettes, des robes et costumes, de la bande dessinée, des installations, etc., réalisés avec différents matériaux en fonction de leur diverses pertinences au sein de cette œuvre : bois, papier, corne, aquarelle, pomme de pin, huile sur toile ou bois, tissus, dentelle, métaux, noix de coco... Cette histoire est totalement intemporelle, utopique, remonte
au néolithique et à l'Antiquité tardive, se prolonge au Moyen-Age et à la Renaissance, dans des temps inexistants, un passé réinventé, dans un futur peu probable, un présent rêvé... Elle se passe dans le Livradois, à Brioude, à Cusse, Grahy et Lavaudieu, en Terre de Baffin et aux Iles Marquises, et même un peu sur Mars..., dans des châteaux et des cabanes, sur des goélettes ou dans vaisseaux intersidéraux... Le professeur Erasmus Vendredi Lamandier, dillettante passionné et légèrement érudit, au volant de sa Jaguar XK 120 et en compagnie de la belle Angie – Marie Angélique
de Mercoeur des Ollières, marquise d'Agrain, une jeune femme courageuse et délicate de petite noblesse désargentée – va essayer, avec un succès très relatif, de dénouer les fils inextricables
de cette affaire bien mystérieuse : « Les Douze Sœurs de Vauvert ».
Par ailleurs, depuis le mois de juillet 2013, je me suis mis à faire de la peinture à l'huile sur toile.
Ce sont essentiellement des portraits dans des ambiances particulières, que vous pouvez voir en partie sur ce site.